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Le sauna, un vrai atout bien-être – partie 1

D’origine finlandaise, inventé il y a plus de 2000 ans, le sauna, bain de chaleur sèche, est utilisé et apprécié sous toutes les latitudes, des Romains aux Japonais, en passant par les Etats-Unis, l’Inde et la Chine. Conçu tout d’abord dans un but hygiénique, il a acquis ses lettres de noblesse, lorsque se sont joints à cette nécessité d’hygiène, des impé­ratifs de purification et même de méditation. Quoi qu’il en soit, dans des civilisations de plus en plus stressantes et stressées, face à l’envie de décompresser, de se relaxer; d’être au mieux de sa forme, le sauna est apparu comme un excellent remède à la morosité ambiante, phy­sique et psychique de chacun d’entre nous.

 Le sauna, un régal ancestral

Il s’agit d’une cabine en bois, que l’on trouve dans les hôtels, les spas, les établissements sportifs… mais de plus en plus aussi chez les parti­culiers. Les bois généralement choisis sont l’épicéa, le pin, le tremble, le cèdre… ces bois sont agréablement parfumés et très résistants. Les parois de la cabine peuvent être en bois massif d’environ 35 à 45 mm d’épaisseur ou bien, et c’est de plus en plus la tendance, en lambris ; ceux-ci disposent d’une couche d’isolant en laine de verre, dont l’épaisseur, de 10 à 15 mm, permet un réchauffement plus rapide.

 L’aménagement du sauna

Il est constitué de banquettes et de dossiers, tout en bois et situés à des hauteurs différentes. En effet, la différence de niveau permet à l’utilisateur de moduler sa séance, en sachant que plus on «monte», plus il fait chaud. Mais l’élément essentiel du sauna est naturellement le poêle, puisqu’il s’agit de prendre un «bain de chaleur». Le poêle fonctionne à l’électricité ou au bois. Il doit être apte à produire une très forte chaleur, entre 70 et 100 degrés. Il faut environ 1 kW de puis­sance pour chauffer 1 m3.

Le poêle intègre à la surface un amas de pierres d’origine volcanique qui résistent à la chaleur et la diffusent. Elles sont arrosées par les utilisateurs : l’eau étant immédiatement évaporée, le taux d’humidité ambiante s’élève, sachant que l’hygro­métrie d’un sauna doit être comprise entre 15 et 30 %. La cabine comprend d’ailleurs un hygromètre pour contrôler ce taux d’humi­dité et un thermomètre pour vérifier la chaleur. Il existe sur certains poêles un générateur de vapeur qui permet d’augmenter le taux d’humidité jusqu’à 50 %, voire plus. Dans ce cas, la chaleur sèche est naturellement moindre.

On peut également doter la cabine d’un système de chauffage par infrarouges, associé ou non au poêle classique. Le système infrarouge bénéficie de la faveur du public, parce qu’il est plus facilement sup­porté, le réchauffement de la cabine se faisant plus rapidement (15 minutes contre une heure) et par rayonnement, donc plus en dou­ceur (50° contre 80°). Il existe des cabines uniquement équipées d’infrarouges, généralement conçues pour une à deux personnes ; ne disposant ni de poêle ni de banquettes, leur encombrement est mini­mum.

La configuration du sauna est généralement celle d’un carré, mais il peut prendre d’autres aspects (octogonal, rectangulaire). La porte d’entrée est souvent vitrée pour éviter toute claustrophobie ! Très facile à installer; de faible encombrement, il peut également être fait sur mesure. Enfin il existe différentes options : clavier digital pour programmer la température, chromothérapie, aromathérapie, musique…

Combien coûte un sauna ?

Le prix varie selon les bois choisis et les options… Les consommations (électrique ou infrarouge) sont un peu plus importantes pour un sauna électrique classique : un à deux euros par séance, moins pour les saunas infrarouges. Par contre la mise en chaleur du sauna classique dure plus longtemps qu’un sauna par infrarouges, où la chaleur est quasi instantanée.

 

D’origine finlandaise, inventé il y a plus de 2000 ans, le sauna, bain de chaleur sèche, est utilisé et apprécié sous toutes les latitudes, des Romains aux Japonais, en passant par les Etats-Unis, l’Inde et la Chine. Conçu tout d’abord dans un but hygiénique, il a acquis ses lettres de noblesse, lorsque se sont joints à cette nécessité d’hygiène, des impé­ratifs de purification et même de méditation. Quoi qu’il en soit, dans des civilisations de plus en plus stressantes et stressées, face à l’envie de décompresser, de se relaxer; d’être au mieux de sa forme, le sauna est apparu comme un excellent remède à la morosité ambiante, phy­sique et psychique de chacun d’entre nous.

 Le sauna, un régal ancestral

Il s’agit d’une cabine en bois, que l’on trouve dans les hôtels, les spas, les établissements sportifs… mais de plus en plus aussi chez les parti­culiers. Les bois généralement choisis sont l’épicéa, le pin, le tremble, le cèdre… ces bois sont agréablement parfumés et très résistants. Les parois de la cabine peuvent être en bois massif d’environ 35 à 45 mm d’épaisseur ou bien, et c’est de plus en plus la tendance, en lambris ; ceux-ci disposent d’une couche d’isolant en laine de verre, dont l’épaisseur, de 10 à 15 mm, permet un réchauffement plus rapide.

 L’aménagement du sauna

Il est constitué de banquettes et de dossiers, tout en bois et situés à des hauteurs différentes. En effet, la différence de niveau permet à l’utilisateur de moduler sa séance, en sachant que plus on «monte», plus il fait chaud. Mais l’élément essentiel du sauna est naturellement le poêle, puisqu’il s’agit de prendre un «bain de chaleur». Le poêle fonctionne à l’électricité ou au bois. Il doit être apte à produire une très forte chaleur, entre 70 et 100 degrés. Il faut environ 1 kW de puis­sance pour chauffer 1 m3.

Le poêle intègre à la surface un amas de pierres d’origine volcanique qui résistent à la chaleur et la diffusent. Elles sont arrosées par les utilisateurs : l’eau étant immédiatement évaporée, le taux d’humidité ambiante s’élève, sachant que l’hygro­métrie d’un sauna doit être comprise entre 15 et 30 %. La cabine comprend d’ailleurs un hygromètre pour contrôler ce taux d’humi­dité et un thermomètre pour vérifier la chaleur. Il existe sur certains poêles un générateur de vapeur qui permet d’augmenter le taux d’humidité jusqu’à 50 %, voire plus. Dans ce cas, la chaleur sèche est naturellement moindre.

On peut également doter la cabine d’un système de chauffage par infrarouges, associé ou non au poêle classique. Le système infrarouge bénéficie de la faveur du public, parce qu’il est plus facilement sup­porté, le réchauffement de la cabine se faisant plus rapidement (15 minutes contre une heure) et par rayonnement, donc plus en dou­ceur (50° contre 80°). Il existe des cabines uniquement équipées d’infrarouges, généralement conçues pour une à deux personnes ; ne disposant ni de poêle ni de banquettes, leur encombrement est mini­mum.

La configuration du sauna est généralement celle d’un carré, mais il peut prendre d’autres aspects (octogonal, rectangulaire). La porte d’entrée est souvent vitrée pour éviter toute claustrophobie ! Très facile à installer; de faible encombrement, il peut également être fait sur mesure. Enfin il existe différentes options : clavier digital pour programmer la température, chromothérapie, aromathérapie, musique…

Combien coûte un sauna ?

Le prix varie selon les bois choisis et les options… Les consommations (électrique ou infrarouge) sont un peu plus importantes pour un sauna électrique classique : un à deux euros par séance, moins pour les saunas infrarouges. Par contre la mise en chaleur du sauna classique dure plus longtemps qu’un sauna par infrarouges, où la chaleur est quasi instantanée.

 

A propos de l'auteur

Audrey

Rédactrice freelance, je suis à votre disposition pour tout travail de rédaction, campagne de netlinking, optimisation et d'intégration de contenu sur vos fiches produits, sites ou blogs, pour améliorer votre visibilité sur le web. Retrouvez-moi sur Twitter | Chrysalink

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