
Aujourd’hui, chacun, en utilisant ce terme désormais galvaudé, y va de sa définition, et les uns tombent rarement d’accord avec les autres. Aussi le vintage, en particulier lorsqu’il s’applique à la cuisine, revêt une dimension très subjective. C’est en cela, d’ailleurs, que ce style est si captivant: il s’exprime, dans la cuisine, de mille et une manières différentes.
Vintage, mais en vrai, kézako ?
Définir le terme « vintage » ne représente certes pas une sinécure. Dire, à ce sujet, que les avis sont partagés relève d’un doux euphémisme.
Le petit monde de la cuisine en est un parfait exemple; les uns le confondent avec la tradition, les autres réduisent le style vintage à celui du pop… Terme anglais issu de l’ancien français vendange, il est, depuis 1967, synonyme de millésimé dans la langue de Molière. On l’utilise beaucoup, notamment, pour qualifier le porto issu d’un millésime exceptionnel. Récupéré depuis par les tendanceurs en tous genres, le vintage a investi, entre autres, l’univers de la mode: au point que le Larousse le définit aujourd’hui comme « …un vêtement, accessoire, etc., des décennies précédentes, remis au goût du jour ».
Décidé à approfondir la question, l’auteur du blog, L’observateur curieux, explique ce terme de manière particulièrement intéressante.
Il s’appuie, en effet, sur le dictionnaire international de la mode qui lui sert de base de réflexion : « Le terme vintage a fini par désigner tout un jeu d’apparences utilisant des vêtements anciens, du mélange de fripes et de vêtements neufs portés au quotidien jusqu’aux pièces exceptionnelles ».
Ce qui intéresse notre observateur en question dans la susdite définition, c’est le mélange des genres. Et d’expliquer : « // ne s’agit donc pas de trouver un objet d’époque pour avoir un style vintage. Il faut également réussir à le marier avec goût… Reste que l’objet ancien est indépendant par rapport aux autres, ce qui en fait la vedette de l’agencement” .
Aujourd’hui, chacun, en utilisant ce terme désormais galvaudé, y va de sa définition, et les uns tombent rarement d’accord avec les autres. Aussi le vintage, en particulier lorsqu’il s’applique à la cuisine, revêt une dimension très subjective. C’est en cela, d’ailleurs, que ce style est si captivant: il s’exprime, dans la cuisine, de mille et une manières différentes.
Vintage, mais en vrai, kézako ?
Définir le terme « vintage » ne représente certes pas une sinécure. Dire, à ce sujet, que les avis sont partagés relève d’un doux euphémisme.
Le petit monde de la cuisine en est un parfait exemple; les uns le confondent avec la tradition, les autres réduisent le style vintage à celui du pop… Terme anglais issu de l’ancien français vendange, il est, depuis 1967, synonyme de millésimé dans la langue de Molière. On l’utilise beaucoup, notamment, pour qualifier le porto issu d’un millésime exceptionnel. Récupéré depuis par les tendanceurs en tous genres, le vintage a investi, entre autres, l’univers de la mode: au point que le Larousse le définit aujourd’hui comme « …un vêtement, accessoire, etc., des décennies précédentes, remis au goût du jour ».
Décidé à approfondir la question, l’auteur du blog, L’observateur curieux, explique ce terme de manière particulièrement intéressante.
Il s’appuie, en effet, sur le dictionnaire international de la mode qui lui sert de base de réflexion : « Le terme vintage a fini par désigner tout un jeu d’apparences utilisant des vêtements anciens, du mélange de fripes et de vêtements neufs portés au quotidien jusqu’aux pièces exceptionnelles ».
Ce qui intéresse notre observateur en question dans la susdite définition, c’est le mélange des genres. Et d’expliquer : « // ne s’agit donc pas de trouver un objet d’époque pour avoir un style vintage. Il faut également réussir à le marier avec goût… Reste que l’objet ancien est indépendant par rapport aux autres, ce qui en fait la vedette de l’agencement” .