Maison & Jardin

La piscine, un petit bonheur à la portée de tous

Le marché de la piscine se démocratise. Soucieux de ne pas être un gouffre, le bassin est désormais plus accessible. Le rêve de posséder une piscine peut désormais devenir réalité: les contraintes en termes d’espace, de coût et d’entretien sont loin d’être ignorées par les fabricants, per­mettant de créer des bassins capables de se loger dans des espaces réduits.

Preuve en est: le développement des “citadines”. Exit le grand bassin inaccessible aux urbains. Les piscines investissent les villes et ne boudent pas la mode, habillées de verre ou d’acier ou dotées d’un liner revêtu de couleurs fortes. Les modèles coques ou panneaux industria­lisés dont l’installation est plus aisée que les piscines traditionnelles en béton, plus instantanée, séduisent. Le budget n’est pas faramineux. À considérer l’éclairage, les leds offrent économies d’énergie et illumination de la pièce d’eau la nuit.

Ce qui agrémente le jardin sans conteste.

Question équipements encore, les minibassins rivalisent d’ingénio­sité: les buses de nage à contre-courant per­mettent de se maintenir en forme comme si le nageur évoluait dans le couloir d’un bassin olympique.

Côté entretien, il faut compter en moyenne 350 € à 600 € par an pour une pis­cine de 35 mètres carrés et savoir qu’un tiers du volume d’eau doit être renouvelé chaque année. Et pour pallier les dépenses exorbi­tantes, ne négligez pas la récupération d’eau de pluie pour compléter la quantité d’eau du bassin. Pensez à utiliser l’énergie solaire pour le chauffage de l’eau et le système de pompe… Et étudiez avec le plus grand soin la question des traitements (voir ci-dessous).

Les traitements et l’environnement

Le traitement « classique” d’une piscine s’effectue au chlore. Toutefois, cet halogène a un impact sur la santé et le milieu naturel. Ajoutez un déchloraminateur pour ne plus rejeter d’eau chlorée à l’égout. Ou alors, choisissez une alternative : un traitement par électrolyse aux minéraux (magnésium et potassium pour le procédé Magna Pool), un système de désinfection à l’ozone (Ultra-Bio-Ozone garanti sans produits chimiques), un traitement au brome ou la mise en place, dans le panier à aspiration de la pompe, d’éponges végétales permettant de diminuer l’emploi de produits chimiques.

Dans la conception d’une baignade naturelle, la filtration est entièrement naturelle, ne pollue pas l’environnement et permet des compositions végétales harmonieuses. Des plantes aquatiques forment un système de lagunage pour absorber les déchets et les transformer en sels minéraux : plantes filtrantes, plantes oxygénantes et plantes flottantes agrémentent un bassin de régénération adjacent.

Le marché de la piscine se démocratise. Soucieux de ne pas être un gouffre, le bassin est désormais plus accessible. Le rêve de posséder une piscine peut désormais devenir réalité: les contraintes en termes d’espace, de coût et d’entretien sont loin d’être ignorées par les fabricants, per­mettant de créer des bassins capables de se loger dans des espaces réduits.

Preuve en est: le développement des “citadines”. Exit le grand bassin inaccessible aux urbains. Les piscines investissent les villes et ne boudent pas la mode, habillées de verre ou d’acier ou dotées d’un liner revêtu de couleurs fortes. Les modèles coques ou panneaux industria­lisés dont l’installation est plus aisée que les piscines traditionnelles en béton, plus instantanée, séduisent. Le budget n’est pas faramineux. À considérer l’éclairage, les leds offrent économies d’énergie et illumination de la pièce d’eau la nuit.

Ce qui agrémente le jardin sans conteste.

Question équipements encore, les minibassins rivalisent d’ingénio­sité: les buses de nage à contre-courant per­mettent de se maintenir en forme comme si le nageur évoluait dans le couloir d’un bassin olympique.

Côté entretien, il faut compter en moyenne 350 € à 600 € par an pour une pis­cine de 35 mètres carrés et savoir qu’un tiers du volume d’eau doit être renouvelé chaque année. Et pour pallier les dépenses exorbi­tantes, ne négligez pas la récupération d’eau de pluie pour compléter la quantité d’eau du bassin. Pensez à utiliser l’énergie solaire pour le chauffage de l’eau et le système de pompe… Et étudiez avec le plus grand soin la question des traitements (voir ci-dessous).

Les traitements et l’environnement

Le traitement « classique” d’une piscine s’effectue au chlore. Toutefois, cet halogène a un impact sur la santé et le milieu naturel. Ajoutez un déchloraminateur pour ne plus rejeter d’eau chlorée à l’égout. Ou alors, choisissez une alternative : un traitement par électrolyse aux minéraux (magnésium et potassium pour le procédé Magna Pool), un système de désinfection à l’ozone (Ultra-Bio-Ozone garanti sans produits chimiques), un traitement au brome ou la mise en place, dans le panier à aspiration de la pompe, d’éponges végétales permettant de diminuer l’emploi de produits chimiques.

Dans la conception d’une baignade naturelle, la filtration est entièrement naturelle, ne pollue pas l’environnement et permet des compositions végétales harmonieuses. Des plantes aquatiques forment un système de lagunage pour absorber les déchets et les transformer en sels minéraux : plantes filtrantes, plantes oxygénantes et plantes flottantes agrémentent un bassin de régénération adjacent.

A propos de l'auteur

Audrey

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