Maison & Jardin

Devenir décorateur d’intérieur

Vous n’avez jamais songé aux raisons qui nous font choisir un métier plus qu’un autre ? Très souvent, vous voyez les enfants suivre les traces de leurs parents quand il s’agit de professions particulières comme les métiers en rapport avec la loi et la protection par exemple, la police, les pompiers, les avocats et ou encore les professions médicales, sans oublier la reprise de commerce.

Je suppose qu’une partie de ces choix est dû à l’exposition constante et au fait de regarder nos parents travailler ou les entendre parler. Personnellement, je me suis orientée vers le domaine des services sociaux parce que j’ai été impressionnée par l’efficacité et la compétence des professionnels sociaux, et de l’aide incroyable qu’ils m’ont apporté lorsque mon père a eu une crise cardiaque. Avant cette expérience, je ne savais absolument rien au sujet du travail social.

D’une activité pour décompresser, vers un métier.

J’ai donc travaillé dans le domaine du travail social pendant près de vingt ans. C’est un métier mal rémunéré, mais il y a la satisfaction de savoir que vous avez contribué à aider quelqu’un, quand il en avait vraiment besoin. Je suis heureuse d’avoir choisi cette carrière, mais je sais aussi que cela ne pouvait pas durer toute ma vie.

Traiter avec les problèmes et les soucis plus ou moins graves des gens, jour après jour, année après année, cela fini par avoir une grosse répercussion sur vous et sur votre moral. Heureusement, j’ai toujours aimé la décoration d’intérieur. C’était ma façon d’échapper aux émotions auxquelles j’ai dû faire face à chaque fois. Pour me détendre, j’ai commencé par peindre toutes les pièces de la maison de différentes couleurs durant ces dernières années. J’aime réorganiser les meubles et modifier régulièrement les tableaux et miroirs sur ​​les murs. Même chose dans le jardin, bien entendu !

Devant mon engouement, mon mari m’a suggéré de prendre des cours de design d’intérieur.

Il pense que je suis douée et que ce serait un bon changement de rythme pour moi. Je n’avais jamais envisagé de prendre des cours de décoration, jusqu’à ce qu’il le mentionne. Une fois que j’ai commencé, j’ai trouvé que ce serait amusant de travailler avec des gens sur l’organisation de leurs maisons plutôt que d’organiser leur santé mentale.
J’ai trouvé l’organisme de formation le plus proche de chez moi, grâce au site du Conservatoire des Arts et Métiers : http://www.cnam.fr, qui donnait des cours de design d’intérieur et je suis allée parler aux différents professeurs et professionnels. Je leur ai dit que je savais que je serais leur élève la plus âgée dans leur cours, mais je pensais que je serais en mesure de gérer cela. Ils m’ont assuré que ce n’était pas vrai. Ils ont souvent des personnes qui veulent changer de carrière et d’orientation professionnelle et que la population étudiante est composée d’un large éventail d’âges.

Quand j’ai commencé à suivre les cours de design, j’ai réalisé que c’était bien vrai. La majorité des étudiants étaient de l’âge normal, mais il y avait suffisamment d’anciens élèves pour que je ne me sente pas seule. Une toute nouvelle carrière s’ouvrait enfin pour moi.

Vous n’avez jamais songé aux raisons qui nous font choisir un métier plus qu’un autre ? Très souvent, vous voyez les enfants suivre les traces de leurs parents quand il s’agit de professions particulières comme les métiers en rapport avec la loi et la protection par exemple, la police, les pompiers, les avocats et ou encore les professions médicales, sans oublier la reprise de commerce.

Je suppose qu’une partie de ces choix est dû à l’exposition constante et au fait de regarder nos parents travailler ou les entendre parler. Personnellement, je me suis orientée vers le domaine des services sociaux parce que j’ai été impressionnée par l’efficacité et la compétence des professionnels sociaux, et de l’aide incroyable qu’ils m’ont apporté lorsque mon père a eu une crise cardiaque. Avant cette expérience, je ne savais absolument rien au sujet du travail social.

D’une activité pour décompresser, vers un métier.

J’ai donc travaillé dans le domaine du travail social pendant près de vingt ans. C’est un métier mal rémunéré, mais il y a la satisfaction de savoir que vous avez contribué à aider quelqu’un, quand il en avait vraiment besoin. Je suis heureuse d’avoir choisi cette carrière, mais je sais aussi que cela ne pouvait pas durer toute ma vie.

Traiter avec les problèmes et les soucis plus ou moins graves des gens, jour après jour, année après année, cela fini par avoir une grosse répercussion sur vous et sur votre moral. Heureusement, j’ai toujours aimé la décoration d’intérieur. C’était ma façon d’échapper aux émotions auxquelles j’ai dû faire face à chaque fois. Pour me détendre, j’ai commencé par peindre toutes les pièces de la maison de différentes couleurs durant ces dernières années. J’aime réorganiser les meubles et modifier régulièrement les tableaux et miroirs sur ​​les murs. Même chose dans le jardin, bien entendu !

Devant mon engouement, mon mari m’a suggéré de prendre des cours de design d’intérieur.

Il pense que je suis douée et que ce serait un bon changement de rythme pour moi. Je n’avais jamais envisagé de prendre des cours de décoration, jusqu’à ce qu’il le mentionne. Une fois que j’ai commencé, j’ai trouvé que ce serait amusant de travailler avec des gens sur l’organisation de leurs maisons plutôt que d’organiser leur santé mentale.
J’ai trouvé l’organisme de formation le plus proche de chez moi, grâce au site du Conservatoire des Arts et Métiers : http://www.cnam.fr, qui donnait des cours de design d’intérieur et je suis allée parler aux différents professeurs et professionnels. Je leur ai dit que je savais que je serais leur élève la plus âgée dans leur cours, mais je pensais que je serais en mesure de gérer cela. Ils m’ont assuré que ce n’était pas vrai. Ils ont souvent des personnes qui veulent changer de carrière et d’orientation professionnelle et que la population étudiante est composée d’un large éventail d’âges.

Quand j’ai commencé à suivre les cours de design, j’ai réalisé que c’était bien vrai. La majorité des étudiants étaient de l’âge normal, mais il y avait suffisamment d’anciens élèves pour que je ne me sente pas seule. Une toute nouvelle carrière s’ouvrait enfin pour moi.

A propos de l'auteur

Audrey

Rédactrice freelance, je suis à votre disposition pour tout travail de rédaction, campagne de netlinking, optimisation et d'intégration de contenu sur vos fiches produits, sites ou blogs, pour améliorer votre visibilité sur le web. Retrouvez-moi sur Twitter | Chrysalink

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