
Les lave-vaisselle de jadis, qui faisaient vibrer la maison et émettaient le bruit des chutes du Niagara lorsqu’ils tournaient, ont vécu… Avoisinant les 40 dB (A), les nouveaux modèles brillent par leur discrétion. Le bruit, voilà l’ennemi !
« Tout son inopportun est un bruit », nous apprend l’AFNOR (Association française de normalisation). Reconnu comme cause de maladie professionnelle depuis 1963, le bruit est devenu, ces dernières années, un véritable problème de santé publique et une source de nuisance considérable pour les Français. Engendrant la fatigue et du stress, des troubles de l’attention ou comportementaux, voire une surdité temporaire ou permanente, il se doit d’être combattu par tous les moyens.
Exposés, pour certains d’entre nous, à des nuisances sonores dans le cadre de nos activités professionnelles (transports en commun, voiture, lieu de travail bruyant…), il serait un comble que nous laissions ce nuisible s’inviter jusque dans nos foyers. Hélas cela arrive trop souvent: maison mal isolée, ascenseur ou chaudière trop vieux, hotte qui date de Mathusalem sans parler du réfrigérateur qui remonte à Hérode… C’est en cela que la problématique du niveau sonore émis par les appareils électroménagers est capitale: autant s’épargner d’inutiles désagréments lorsque l’on peut les éviter !
Dépendant de l’intensité, de la fréquence et du temps d’exposition, le bruit s’évalue selon une échelle mesurée en décibels. Apprenez, par ailleurs, que ceux-ci ne s’additionnent ni se soustraient, suivent mais une courbe logarithmique: ainsi une augmentation de 3 dB correspond à un doublement du bruit, une augmentation de 10 dB à un niveau sonore 10 fois supérieur.
À bon entendeur… 😉
Les lave-vaisselle de jadis, qui faisaient vibrer la maison et émettaient le bruit des chutes du Niagara lorsqu’ils tournaient, ont vécu… Avoisinant les 40 dB (A), les nouveaux modèles brillent par leur discrétion. Le bruit, voilà l’ennemi !
« Tout son inopportun est un bruit », nous apprend l’AFNOR (Association française de normalisation). Reconnu comme cause de maladie professionnelle depuis 1963, le bruit est devenu, ces dernières années, un véritable problème de santé publique et une source de nuisance considérable pour les Français. Engendrant la fatigue et du stress, des troubles de l’attention ou comportementaux, voire une surdité temporaire ou permanente, il se doit d’être combattu par tous les moyens.
Exposés, pour certains d’entre nous, à des nuisances sonores dans le cadre de nos activités professionnelles (transports en commun, voiture, lieu de travail bruyant…), il serait un comble que nous laissions ce nuisible s’inviter jusque dans nos foyers. Hélas cela arrive trop souvent: maison mal isolée, ascenseur ou chaudière trop vieux, hotte qui date de Mathusalem sans parler du réfrigérateur qui remonte à Hérode… C’est en cela que la problématique du niveau sonore émis par les appareils électroménagers est capitale: autant s’épargner d’inutiles désagréments lorsque l’on peut les éviter !
Dépendant de l’intensité, de la fréquence et du temps d’exposition, le bruit s’évalue selon une échelle mesurée en décibels. Apprenez, par ailleurs, que ceux-ci ne s’additionnent ni se soustraient, suivent mais une courbe logarithmique: ainsi une augmentation de 3 dB correspond à un doublement du bruit, une augmentation de 10 dB à un niveau sonore 10 fois supérieur.
À bon entendeur… 😉